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Compte-rendu et mise à jour du projet de construction d'un réseau d'échanges non-marchands (septembre 2015)



⚠ (:toc:)

L'objectif est de construire un réseau ouvert et gratuit d'échanges non-marchands d'objets, services et informations. Tous les échanges sont gratuits et si possible non-hiérarchisés - exceptée la vente de certains supports matériels en rapport avec la culture libre et le DIY1.

Cinq dispositifs

Ce réseau s'articule autour de cinq dispositifs :

  • Un dispositif numérique. Celui-ci comprend :
    • Un site Internet http://nonmarchand.org (l'information est centralisée), comprenant, un réseau social d'échanges non marchands, un laboratoire de recherche citoyenne et une encyclopédie type wiki.
    • Accessoirement, d'autres outils de communication numériques : listes de discussion, pages sur des réseaux sociaux.
  • Quatre dispositifs non-numériques. On peut les classer ainsi, dispositifs :
    • Fixe et centralisé (un seul lieu). La maison non-marchande.
    • Fixe et décentralisé (plusieurs lieux). Boîtes à livres, zones de gratuité, jardins libres, prêts en réseau, etc.
    • Mobile et centralisé. Caravane de la gratuité.
    • Mobile et décentralisé. Objets nomades.

Deux remarques :

  • Le fonctionnement des dispositifs est interdépendant. Exemple, la caravane nomade et le site internet permettent d'agrandir le dispositif fixe et décentralisé en répertoriant des lieux.
  • Chaque dispositif permet l'échange de ressources telles que : services, objets, informations2.

Les différents dispositifs posent plusieurs questions communes :

  • L'hébergement (occupation de l'espace). Trois problématiques : 1. avoir accès à un ou plusieurs lieux, 2. minimiser les coûts d'occupation (le loyer), 3. minimiser les coûts de maintenance du lieu.
  • L'utilisation de ressources marchandes. Dans quelle mesure peut-on limiter l'échange marchand pour l'acquisition et l'usage de ressources nécessaires au fonctionnement des dispositifs ?
  • Les usages qu'ils permettent, en quantité et en qualité (impact, notamment, sur la circulation gratuite des objets).
  • L'accès. Celui-ci doit-il être ouvert à tous ? L'accès aux ressources matérielles gratuites doit-il être limité ? Faut-il imposer des horaires ?
  • La contribution. Comment intégrer les contributeurs dans le fonctionnement des dispositifs ? Quel peut-être leur rôle ?
  • La communication interne et la visibilité des dispositifs. Quels outils de communications ? Comment faire en sorte que les dispositifs soient connus et utilisés ?

L'originalité du projet est de faire en sorte que ces problématiques trouvent des réponses à l'intérieur des principes suivants : maximiser l'ouverture et la gratuité, minimiser la contrainte, la hiérarchie, le recours à des échanges marchands.

Bilan et ToDo du projet

Le dispositif numérique

Bilan

Le site http://nonmarchand.org est hébergé chez un hébergeur mutualisé gratuit et associatif.

  • Avantages : coût financier très faible et gestion plus simple que dans l'auto-hébergement.
  • Inconvénients : dysfonctionnements et, potentiellement, une limite à l'extension du site.

Le site fonctionne sur une base logiciel libre : le logiciel pmwiki.

  • Avantages : conforme à l'éthique du projet, le site est entièrement configurable, la technologie et ouverte d'accès, autonomie dans l'usage.
  • Inconvénients : bugs fréquents, développement chronophage, complexité, pas de connexion actuellement entre les modifications et les mails des usagers.

En parallèle au site, l'outil numérique s'appuie sur une liste de diffusion de la maison non-marchande de Puivert et une page Facebook.

Il y a peu de contributeurs, mais le site est semble-t-il plutôt bien consulté (relativement).

L'interface numérique pour le laboratoire est opérationnelle, mais il y a peu de contribution.

ToDo

  • Créer et développer une liste de discussion pour les magasins gratuits, de manière à les mettre en contact. Liste créé (11 2015) mais il reste à contacter les intéressés. Idem pour la liste sur les gratiférias.
  • Relancer la lettre d'information (ou de discussion) sur le non-marchand et la culture libre.
  • Créer une page sur un réseau social plus éthique. Fait sur framasphère.
  • Améliorer l'interface, éliminer les bugs, créer une inscription avec envoi de mails automatisés et faciliter la géolocalisation.
  • Créer des sous-projets, par exemple, sur l'auto-stop, le nautisme libre, le partage d'arbres fruitiers, etc., plus indépendants et visibles, voire parallèles.
  • Renforcer la visibilité du site.
  • Inscrire des personnes, en leur demandant leur adresse, leur mail, un objet à prêter et un savoir-faire à transmettre.
  • Augmenter le nombre d'inscriptions via la participation à des salons, des festivals, des colloques (participation pouvant s'accompagner d'une zone de gratuité).
  • Produire et diffuser des recherches pour le laboratoire. Par exemple via des portails comme Agoravox, In libro Veritas, etc., notamment, en créant des compilations d'articles. Entres autres :
    • Mettre en place des recherches sur le stop.
    • Finaliser les recherches statistiques sur les encombrants et le profil des donneurs
  • Rédiger une série d'articles de trois parties chacun pouvant être réunis sous la forme d'un ouvrage 1/ Libertés individuelles, économie non-marchande et optimum social, 2 / La dynamique des objets, 3/ Analyse des dispositifs répressifs. Le tout constituerait une vitrine, un fondement et une délimitation pour les activités de l'association.

Il existe des possibilités de financement participatif via des projets comme Tipeee. A explorer.

La maison non marchande

Bilan

La maison non marchande comprend actuellement : un magasin gratuit, un espace de prêt, un espace d'informations, une médiathèque, un espace numérique, des ateliers, etc.

L'hébergement se fait chez Sarah, qui est membre de l'association. Récemment, l'association a opté pour un contrat de commodat, de manière à limiter les frais afférents à l'occupation du garage.

Dans une très large mesure, le fonctionnement de la maison non-marchande se fait grâce à des échanges non-marchands. Le magasin gratuit, notamment, fournit une source importante de ressources, bien que quelques achats soient parfois réalisés.

L'accès au magasin gratuit est permanent et ouvert à tous - sauf aux chiens de la rue qui viennent y faire leurs besoins (une barrière très efficace de 50 cm de haut a été installée pour les en dissuader) ! En revanche, suite à des vols, l'accès aux autres espaces est autorisé, mais sur demande.

Dans l'ensemble, le magasin gratuit est bien fréquenté (parfois plus de 10 visiteurs par jour). Les dépôts y sont fréquents et le stock tend à se réguler spontanément. La maintenance s'est nettement améliorée et quelques contributeurs le rangent de temps en temps ou y apportent des améliorations.

L'espace de prêt et les autres services sont au point mort depuis qu'ils ont été déplacés au grenier.

Le magasin gratuit de Puivert est relativement bien connu dans le « pays ». Les gens du coin en ont généralement entendu parler. La perception qu'en ont les villageois semble s'être améliorée depuis un an. Une liste de diffusion informelle vient d'être créée, pour créer et renforcer une petite communauté autour du lieu.

Todo

Plusieurs services doivent être réinstallés et mieux signalisés (dans la MNM) :

  • L'espace numérique. La première étape consiste à installer une clé usb en libre-accès, sur laquelle des contenus libres seront disponibles (en cours) : la clé du libre. Ceci nécessite de créer une collection de contenus en accès libre.Fait en novembre 2015 Il reste à créer un torrent pour la rendre accessible via Internet, ou bien, passer par un cloud (owncloud). L'accès au wifi est également à revoir. L'installation d'un amplificateur serait un plus.
  • L'espace de prêt est en train d'être déménagé dans le garage du bas. Cela devrait en faciliter l'accès et renforcer la cohérence du lieu. Fait au 11 2015. Il faut améliorer la signalisation du lieu.
  • Le jardin libre doit être refait entièrement et surtout signalisé correctement. Actuellement, un jardin partagé occupe la terrasse.
  • L'espace art gratuit est à refaire. Il serait intéressant de demander aux artistes (locaux ou non) d'y participer en créant une artothèque plus fournie. Celle-ci serait composée d’œuvres à prêter ou d’œuvres nomades, dont les modalités de circulation restent à définir plus précisément.
  • Un service mensuel de restauration gratuite serait un plus, avec par exemple, invitation des différents contributeurs.
  • Les ateliers doivent être améliorés (voire relancés). Ateliers relancés et plutôt positifs. Le tout est de garder la cadence ! Ils ont lieu le mercredi. Quatre thèmes : Informatique, culture libre, récupe, boîtes à livres, boeuf musical et atelier d'art. / Bricolage, café bricole, couture, cardage / Elevage, cueillette, cuisine avec repas gratuit ou traite gratuite / Recherche citoyenne. Trois principes les gouvernent : 1. Il n'est pas nécessaire de savoir quoi que ce soit pour proposer un atelier ou pour y participer. Ce sont des ateliers d'apprentissage mutuel. Apprendre s'entend dans les deux sens du terme : apprendre à et "apprendre de". Exemple: je lance un atelier vélo sans rien y connaître. Or, il y a une autre personne, mais elle n'y connaît rien non plus. Pas grave. Elle pourra peut-être m'aider à trouver des informations sur Internet. Ce qui est déjà un premier pas. Et puis, n'est-ce pas souvent plus sympa d'apprendre à plusieurs ?!!! Plus on est d'ignorants, plus on rit ! 2. Les outputs des ateliers doivent servir à la gratuité : espace de prêt, magasins gratuits, repas gratuits, autoproduction. 3/ Un thème par mois, avec une succession d'ateliers sur un thème.

Tous ces services doivent être en accès libre et ouvert, sauf l'espace de prêt qui doit faire l'objet d'une surveillance permanente. Pour ce dernier, une piste se dégage :

  • Combiner une ouverture sur demande idée abandonnée avec une ouverture fixe (par exemple, le mercredi de 14h à 18h) assurée par des bénévoles. Toutes les activités nécessitant une présence permanente seraient assurées un jour dans la semaine, avec une rotation par semaine pour les ateliers. Fait au 11 2015
  • Limiter les affaires en exposition et garder le gros du stock à l'abri du vol. Finalement peu pertinent au 12 2015

D'autres idées :

  • Installer un panneau solaire sur la terrasse pour éclairer le magasin de nuit.
  • Créer un dispositif numérique plus élaboré avec un raspberry pi
  • Installer des bacs à plantes dans des pneus ou autres.
  • Refaire les carreaux du garage.En cours de finalisation avec la construction d'une toiture bambou sur la terrasse pour limiter les infiltrations d'eau. 12 2015
  • Créer une deuxième maison non-marchande dans un autre lieu. Alexandre de Chalabre semble intéressé.En cours au 11 2015

...

La liste de diffusion devrait renforcer la communauté autour du lieu, mais il reste à améliorer la coopération avec d'autres structures locales, notamment, la MJC et la Mairie.

La visibilité doit être améliorée :

  • Installer un fléchage dans le villageFait au 12 2015.
  • Fabriquer des tracts, des cartes de visite, et les dispatcher dans les villages autour.
  • Faire connaître et légitimer l'initiative via des médias (indépendants ou non).

Il faut également lancer un projet de financement participatif visant à acquérir des objets attractifs pour du prêt. Ceci peut faire l'objet d'un projet en deux étapes : 1. Atelier de réflexion pour déterminer quels objets sont prioritaires. 2. Création d'un projet de financement participatif.

Le dispositif fixe et décentralisé

Introduction

En ce qui concerne l'hébergement, la construction, l'installation, la maintenance, l'usage et le référencement des objets qui servent de support au réseau, il y a plusieurs possibilités :

  • Qui le fait ?
    • « Associatif » : ce sont les bénévoles d'ANOMALI qui s'en chargent.
    • « Privé » : ce sont des contributeurs qui proposent des objets, les hébergent, etc.
    • « Public » : les objets sont installés dans l'espace public.
  • Ouverture. En simplifiant, deux cas : ouvert ou fermé.
  • L'utilisation de ressources marchandes.
    • Gratuit. Le service est réalisé gratuitement. Les « coûts », ou plutôt l'activité, sont assumés par celui qui réalise le service.
    • Payant. L'accès au service nécessite une contre-partie.
    • Payé. Le service est rémunéré.

Exemple : en ce qui concerne l'usage courant des objets, il est gratuit et privé, mais il n'est pas forcément ouvert, notamment si l'échange est proposé par un acteur privé – celui-ci peut décider, par exemple, de ne rendre le bien disponible qu'à certaines personnes.

Une particularité à mentionner. Les dispositifs hébergés dans l'espace public le sont parfois sans demande préalable (art de rue fonctionnel, installation d'espaces de gratuité, étendoirs gratuits, etc.). On peut alors s'interroger sur le caractère volontaire ou non de l'échange.

Il est probable que le dispositif renforce sa visibilité au fur et à mesure qu'il s'étend, ainsi que son utilité : plus le réseau est étendu, plus il est qualitativement (variété des usages, services et ressources réalisés et proposés) et quantitativement (davantage de biens sont proposés) riche.

Bilan

Dans l'espace public et via l'association. Des boîtes à livres sont déposées régulièrement et il peut arriver que des actions ponctuelles soient entreprises : étendoirs gratuits, zones de gratuité de rue (sous de multiples formes), don à l'étalage, « concurrençage » de commerçants, cadeaux de noël gratuits durant les marchés de noël, etc.

Bien que la construction des boîtes à livres prenne un peu de temps, près d'une centaine ont été déposées. Dont une bonne partie en sauvage. Certaines sont fonctionnelles et régulièrement utilisées. Exemple : Mirepoix, Chalabre.

Le référencement est principalement assuré via le site Internet. Bien qu'il soit ouvert, c'est principalement Anomali qui le réalise. Le référencement reste actif et progresse relativement bien.

A noter que de plus en plus de bases de données indépendantes sont disponibles : grainothèques, fontaines d'eau,… Une partie a été importée sur le wiki (les outils d'importation sont disponibles). Mais le travail demeure inachevé.

La communication passe également par les tableaux de prêts.

En ce qui concerne le réseau privé, il transite essentiellement par le site nonmarchand.org. Dans le cas contraire, ce n'est « plus le même réseau ». Le réseau est actuellement peu actif. Il y a eu un petit pic d'activités en 2013 mais celui-ci est aujourd'hui retombé.

Todo

Pour accroître le réseau, il importe de toucher un public plus vaste, ce qui suppose de se greffer sur des réseaux existants. Ceci peut se faire à travers des présentations du réseau lors de colloques, festivals, salons, etc., accompagnées de séances d'inscription.

A titre d'exemple, Sarah s'est proposée d'inscrire les membres du conseil municipal de Puivert.

D'autres pistes :

  • Continuer l'installation de boîtes à livres en impliquant des bénévoles.
  • Continuer l'importation de données sur le site.
  • Pratiquer un référencement plus actif en visitant des lieux (voir suite).
  • Créer des espaces numériques pour des lieux considérés comme pouvant potentiellement accueillir des espaces de gratuité, ce qui permet d'éviter de créer proprement dit le lieu, avec, notamment, l'installation d'une signalétique appropriée sur le lieu (elle est à inventer).
  • Accompagner les boîtes à livres de petites boîtes numériques avec du contenu libre, dans un premier temps, mais fonctionnant sur le même principe.
  • Proposer d'installer des boîtes à livres (prestation payante) sur des territoires : plateau de Sault, Quercorb, etc. Pour cela, la première étape est de créer une plaquette explicative. Puis, de contacter les organisations potentiellement intéressées.
  • Continuer à organiser des gratiférias.

Le dispositif mobile et centralisé

Bilan

L'association a participé durant quelques temps des événements ponctuels, dans l'idée par exemple, de démarchandisation des vide-greniers ! Plusieurs formules ont été tentées : caddie gratuit, petite zone de gratuité, etc.

Ces participations ont été très positives. Elles permettent de :

  • Rencontrer du monde, communiquer sur le projet.
  • Générer un peu de revenus monétaires pour l'association. Il suffit pour cela de proposer une boîte à contribution sur le stand.
  • Reconstituer un stock d'objets à donner ou à prêter en faisant le tour du vide-grenier et en proposant de donner des affaires.

Todo

Actuellement, l'objectif est de :

  • Parvenir dans un premier temps à une autonomie de la maison non marchande, de façon à pouvoir se dégager du temps libre.
  • Dans un deuxième temps, créer une « caravane de la gratuité ».

La caravane de la gratuité prendra la forme suivante.

Un dispositif de transport (caravane tractée par une voiture, bateau, voiture utilitaire... ?) se déplace d'événements en événements et propose :

  • Un espace de gratuité comprenant des objets, de l'artisanat (diy) produit lors des ateliers et des contenus numériques libres. Eventuellement un espace de prêt, si cela s'avère pertinent. Peut-être du lait des chèvres, à voir.
  • Des informations sur la culture libre, le diy et l'économie non-marchande.
  • Des produits issus de la culture libre en vente : matériel libre, CD, DVD, Clés USB, etc. Si possible réinscriptibles pour laisser plus de liberté à l'usager.
  • Des ateliers sur le DIY.
  • De la musique, de l'art, etc.

La caravane sert aussi à :

  • Collecter des informations sur les espaces de gratuité existant et sur les lieux pouvant potentiellement les accueillir.
  • Informer les mairies sur le projet, et tenter de décrocher des contrats pour déposer des boîtes à livres, organiser des gratiférias ou créer un magasin gratuit.
  • Recruter des contributeurs pour le dispositif numérique ou pour l'association.
  • Déposer une signalétique standardisée dans des lieux pouvant accueillir des espaces de gratuité, et les référencer via le dispositif numérique.

Au niveau de l'hébergement et de la rémunération, plusieurs cas sont envisageables. Une piste très sérieuse : proposer à des festivals un service payant d'espaces de gratuité. Il reste, à ce titre, à créer une plaquette promotionnelle et à préciser un peu mieux l'accès à l'espace (certains festivals sont payants), l'utilisation des ressources et les contributeurs (des membres de l'association ou des festivals ?), la communication (probablement greffée sur celle du festival), etc.

Le projet est donc à développer. La caravane est disponible, mais tout le reste est à construire !

Il est suffisamment attractif pour recourir à du financement participatif. Mais le financement peut aussi passer par la vente des contenants numériques (clé du libre).

Le dispositif mobile et décentralisé

Bilan

De nombreux livres, dvd, cd nomades ont déjà été déposés un peu partout, en particulier lors de l'installation des boîtes à livres. Il est plutôt rare qu'ils soient accompagnés d'une fiche numérique, car cela prend trop de temps et les retours sont rares.

L'objectif indirect du dépôt sauvage est de faire de la publicité pour le site Internet. Il n'y a pas eu pour l'instant beaucoup de retour en la matière.

Todo

  • Clarifier et multiplier les catégories d'objets nomades, améliorer les dispositifs de circulation.
  • Appliquer le principe d'objets nomades à d'autres objets et développer des dispositifs facilitant l'inscription des informations sur les objets et leur traçage. Il serait notamment intéressant de mettre en place un protocole de recherche pour des vélos en libre-accès équipés d'un traceur gps. Ceci pourrait faire l'objet d'un financement participatif.
  • Créer des pochoirs pour les habits afin de les rendre nomades et diffuser des messages sur le non-marchand, la culture libre, etc.

Notes

 

1 Ceci se justifie par la « quasi-non-rivalité » des biens informationnels et/ou par la possibilité de produire soi-même aisément certains objets ou services, ce qui les rend quasiment gratuits et accessibles.

2 Les informations et objets utilisés pour le fonctionnement des dispositifs font l'objet d'un traitement à part. L'idée est de maximiser l'usage et l'échange de ressources libres (au sens de la culture libre) et gratuites, via le réseau. En revanche, les informations et les objets échangés à l'intérieur du réseau ne sont pas nécessairement libres, ou produits gratuitement.

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